La mort d'Ananie

Marchand François ( - 1551)

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Type d'oeuvre

bas-relief

Titres

Titre :

La mort d'Ananie

Localisations

Lieu de conservation :

Département des sculptures du musée du Louvre (Paris)

Commentaire Lieu de conservation :

Localisation historique MMF : salle du XVe

Type de Cote / numéro :

numéro d'inventaire

Cote / numéro :

RF 1072

Commentaire Cote / numéro :

Cat. 1897, n° 239 bis ; cat. 1922, n° 409.
Cat. 1806 p. 139

Commentaires descriptifs

Commentaire descriptif :

Fonction : architecturale.

Matérialité

Matériau :

calcaire

Technique :

taillé

Commentaire Matérialité :

pierre calcaire taillée

Dimensions

Hauteur :

0,85

Largeur :

1,295

Profondeur :

0,145

Unité de mesure :

mètre

Créations / exécutions

Personne liée à l'oeuvre :

Marchand, François ( - 1551)

Date de création :

1542 - 1543

Historiques de collection

Collection :

Chartres, église abbatiale de Saint-Père-en-Vallée, jubé Reliefs provenant du jubé de l'église abbatiale de Saint-Père-en-Vallée à Chartres et probablement compris dans les travaux payés en 1542-1543. Jubé détruit sous la Révolution. Neuf reliefs du jubé entrés au musée des Monuments français le 22 septembre 1798, en échange de huit bustes en plâtre et de quatre bustes en marbre destinés par le département de l'Eure à la bibliothèque de Chartres. Restés à l'Ecole des beaux-arts après 1816. Attestés à la basilique de Saint-Denis en 1846. Versés au Louvre par les Chantiers de Saint-Denis par arrêté du 25 juin 1895 (les cinq autres reliefs ont été postérieurement déposés dans l'église de Saint-Père-en-Vallée à Chartres) (Beaulieu, t. II, p. 483) Le 2 mars 1802, Lenoir demande la somme de trois cents francs pour l'achat de cinq grands bas-reliefs en pierre de Vernon; le tout provenant d'un édifice construit en 1510. Albert Lenoir précise qu'il s'agit de l'ancienne église de Saint-Père. La somme sera accordée à Alexandre Lenoir le 14 août 1802 par Chaptal (AMMF t. I p. 276-277). Cependant, Courajod mentionne un document supprimé des AMMF établissant une entente entre Lenoir et l'architecte du département d'Aure-et-Loir pour démolir le jubé de Saint-Père. Cet acte est, selon Courajod, injustement reproché à Lenoir qui n'a fait que prévenir la desctructio d'un monument condamné à être aliéné comme le reste de l'abbaye. Cette question a toutefois été étouffée. Le transport d'une partie du jubé de Saint-Père est constatée au n° 965 du Journal d'Alexandre Lenoir. Courajod ajoute qu'il y a eu confusion entre les fragments du jubé de Saint-Père de Chartres, construit en 1543 avec d'autres fragments tirés de la même abbaye mais datant de 1510. Les morceaux du jubé avaient été apportés à Paris dès l'an VII. Classés aux Petits-Augustins avant l'an X.