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Lévy Montefiore, Edouard

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lbaumel
Dernière modification
21/03/2024 17:11 (il y a 2 mois)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Lévy Montefiore
Prénom : 
Edouard
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Levi Montefiore
Prénom : 
Edward
Naissance et mort
Date de naissance : 
7 mars 1826
Lieu de naissance : 
Commentaire Naissance : 

Finsbury.

Date de mort : 
2 février 1906
Commentaire Lieu de mort : 

Château de Moyembrie

Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1876 - 1881
Adresse : 

18, rue de Grenelle

Code postal : 
75007
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1881 - 1907
Adresse : 

58, avenue Marceau

Code postal : 
75008
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1881 - 1907
Adresse : 

Château de Moyembrie

Code postal : 
02217
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Date d'activité : 
1843 - 1907
Type de profession / activité : 
Date d'activité : 
1850 - 1907
Biographie
Commentaire biographique : 

Une alliance réussie : les Montefiore et les Cahen d’Anvers

Le soir du 24 novembre 1855, dans son appartement place de la Concorde, le banquier Meyer Joseph Cahen d’Anvers (1804-1881) fête la signature du contrat de mariage de sa fille Emma (1833-1901) avec Édouard Levi Montefiore (1826-1907). La famille donne un dîner : le ministre Hippolyte Fortoul (1811-1856) y est convié et il note dans son journal qu’« Israël s’était choisi et endimanché » (Massa-Gille G., 1979-1989, p. 147). Le premier mariage de la première génération parisienne des Cahen d’Anvers allait être célébré avec le descendant d’une de plus prestigieuses familles juives du Vieux Continent. Si les Cahen d’Anvers liaient leur succès économique et social aux investissements récents du patriarche et à ses relations avec le comptoir des Bischoffsheim, les origines des Montefiore, quant à elles, pouvaient être retracées jusqu’à l’Italie du Moyen Âge : marchands à la tête d’un réseau très vaste, ils étaient liés à la ville d’Ancône, dont la synagogue conserve un rideau rituel en soie, offert par Leone Judah Montefiore (n. 1605) en 1630 (Wolf L., 1884).

Édouard est le fils d’Esther Hannah Montefiore (1800-1864) et d’Isaac Levi (ou Lévy), mort à Bruxelles le 9 janvier 1837. La branche des Montefiore dont il descend est active dans le secteur bancaire entre Livourne, la Belgique et le Royaume-Uni, ainsi que dans le commerce et les transports maritimes vers l’Inde et l’Australie (Draffin N., 1987).

Passionné de gravure, Édouard a été l’élève du célèbre aquafortiste bordelais Maxime Lalanne (1827-1886) [Beraldi H., 1890, vol. 10, p. 111-112 ; Dugnat G., Sanchez P., 2001, vol. 4, p. 1818]. L’un des plus fameux graveurs à la pointe sèche du XIXe siècle, Marcellin Desboutin (1823-1902), lui dédie un petit portrait, dont la Bibliothèque nationale de France conserve un exemplaire (BnF, Estampes et photographie, FOL/EF/415/I/1). Tout comme son frère Eliezer (1820-1894), Édouard semble aussi doué pour le dessin que pour la finance. C’est à sa main que l’on doit les illustrations des Notes de voyage rédigées par Louise Cahen d’Anvers (1845-1926) à l’occasion de sa traversée de l’Amérique latine (Paris, coll. Monbrison, 1893), ou encore un bel album de croquis réalisés dans les Alpes suisses (coll. Leroy-D’Amat, Albums de dessins d’É. Levi Montefiore, 1883-1894). Pour ce qui relève de sa production publique, il transpose en gravure 25 dessins d’Eugène Fromentin (1820-1876), accompagnés par un texte de Philippe Burty (1830-1890) (Burty P., 1877).

L’union d’Édouard Levi Montefiore avec Emma Cahen d’Anvers – dont les traits nous sont connus grâce à un portrait conservé par l’une de ses descendants (Paris, coll. part.) – renforce la présence des deux familles sur le marché européen. Dans la finance aussi bien que dans leurs choix immobiliers, les Montefiore et les Cahen d’Anvers adoptent des politiques similaires. À Bruxelles, la famille d’Édouard possède un fastueux hôtel particulier, au 35 de la rue des Sciences, siège actuel du Conseil d’État belge. Si les Cahen d’Anvers disposent de plusieurs châteaux en région parisienne, les Montefiore, eux, préfèrent la Wallonie : le couple se rend régulièrement chez Georges Montefiore (1832-1906) au domaine du Rond-Chêne, à Esneux (coll. famille Laroque, Photographie de famille au Rond-Chêne, 1885 ca). De leur côté, Édouard et Emma fixent leur demeure estivale dans une Country House à Coucy-le-Château-Auffrique (Aisne). Ici, au domaine de Moyembrie, leur petit-fils Seymour de Ricci (1881-1942), grand érudit, historien et épigraphiste réputé, fait ses premiers pas (Ramsay N., 2013).

Famille, sociabilité, religion

Entre la France, l’Italie et la Belgique, les Montefiore fréquentent un milieu huppé commun aux parents d’Emma. Les deux familles intègrent une upper class européenne aux intérêts variés. Tout comme plusieurs membres de la famille Cahen d’Anvers, Édouard Levi Montefiore est portraituré par l’un des artistes les plus connus de la Troisième République : Léon Bonnat (1833-1922) [Montréal, coll. part.]. Depuis 1882, une amitié le lie à Ernest Meissonier (1815-1891). C’est à cette époque qu’un des enfants du couple rentre à la maison avec deux tableaux du peintre, achetés « à un marchand de cannes et de parapluies des environs de Saint-Augustin » : il fallut les restituer au peintre le jour où celui-ci se présenta chez les Montefiore, accompagné par un commissaire de police, déclarant qu’il avait été dérobé de ses œuvres (Montefiore R., 1957, p. 24).

Parmi d’autres amitiés prestigieuses figure celle qui lie Édouard et ses frères à Louis Pasteur (1822-1895). Connaissant l’activité de la famille outre-mer, le scientifique se rend à l’hôtel de l’avenue Marceau vers 1893, pour « répandre son amertume », à l’issue d’une tentative inachevée de réduire la population des lapins australiens avec l’introduction de la myxomatose (Id., p. 30-31).

Des rapports également féconds lient Édouard Levi Montefiore et son épouse au compositeur César Franck (1822-1890) – qui donne de cours de chant à leur fille – ou encore à des amateurs d’art asiatique tels que leur belle-sœur Louise Cahen d’Anvers, Philippe Burty, Edmond Taigny (1828-1906), Henri Cernuschi (1821-1896), Charles Ephrussi (1849-1905) et Louis Gonse (1846-1921).

À Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle, à côté des Rothschild, des Ephrussi et des Pereire, ou encore des Bischoffsheim et des Camondo, les Montefiore et les Cahen d’Anvers gagnent leur place à la bourse, aussi bien que dans les salons et dans les clubs de prestige de leur temps, côtoyant une aristocratie conservatrice qui cache rarement son mépris pour les juifs.

Des quarante-six ans de mariage d’Édouard Levi Montefiore et Emma Cahen d’Anvers naît une descendance nombreuse, bien que terriblement marquée par deux pertes précoces. Anna (1860-1863) et Alice (1863-1869) ne survivront que trois et six ans. Hélène (1857-1932), Georges (1864-1903) et Raoul (1872-1963) assureront la poursuite de la lignée (Legé, A.S., 2020).

Par l’un des mariages de cette deuxième génération, celui de Raoul avec Jeanne Machiels (1877-Auschwitz, 23 juillet 1943), les Cahen d’Anvers et les Montefiore renforcent ultérieurement leurs relations : Jeanne est la petite-fille de Joseph Alfred Cahen (1809-1890), frère cadet du patriarche des Cahen d’Anvers. En parallèle, le mariage d’Hélène Montefiore avec James Herman de Ricci (1847-1900) – descendant d’une famille de la noblesse florentine – est témoin d’une réussite formelle qui s’exprime également par l’exogamie de la famille. Georges, de son côté, célèbre son union avec Esther Antokolsky (n. 1875), fille du grand sculpteur lituano-russe Mark Antokolsky (1843-1902) [Legé, A.S., 2020, p. 70-71, 79-81].

Malgré le mariage mixte de sa fille Hélène, l’inscription d’Édouard Levi Montefiore à la Société des Études juives (Actes et Conférences de la Société des études juives, t. 1, 1886. p. 82) ainsi que l’épigraphe « שָׁלוֹם » (shalom) qui orne le tombeau de la famille (cimetière de Montmartre, 3e division, no 250) sont témoin d’un attachement profond à la tradition juive, rarement constaté chez les différentes branches des Cahen d’Anvers. Au sein d’une élite minoritaire, qui se bat pour son intégration dans une société catholique, souvent malveillante, le choix d’une inscription funéraire en yiddish, courte et positive, constitue un message très clair : Édouard Levi Montefiore affiche ses origines et s’identifie dans ses racines.

Article rédigé par Alice S. Legé

Commentaire biographique : 

A Successful Alliance: the Montefiore and the Cahen d’Anvers

On the evening of November 24, 1855, in his apartment on Place de la Concorde, the banker Meyer Joseph Cahen d'Anvers (1804-1881) celebrated the signing of the marriage contract of his daughter Emma (1833-1901) with Édouard Levi Montefiore (1826-1907). The family gave a dinner: the minister Hippolyte Fortoul (1811-1856) was invited and noted in his diary that "Israel chose itself and dressed in its Sunday best" (Massa-Gille G., 1979-1989, p. 147). The first marriage among the first Parisian generation of the Cahen d'Anvers family was to be celebrated with the descendant of one of the most prestigious Jewish families in Europe. If the Cahens d'Anvers linked their economic and social success to the patriarch's recent investments and his relations with the trading post of the Bischoffsheims, the origins of the Montefiore family could be traced back to medieval Italy: merchants at the head of a very extensive network, they were linked to the city of Ancona, whose synagogue preserves a ritual silk curtain donated by Leone Judah Montefiore (1605-n.d.) in 1630 (Wolf L., 1884).

Édouard was the son of Esther Hannah Montefiore (1800-1864) and Isaac Levi (or Lévy), who died in Brussels on January 9, 1837. The Montefiore branch from which he descends was active in the banking sector between Livorno, Belgium and the United Kingdom, as well as in trade and shipping to India and Australia (Draffin N., 1987).

Passionate about engraving, Édouard was a pupil of the famous Bordeaux etcher Maxime Lalanne (1827-1886) [Beraldi H., 1890, vol. 10, p. 111-112; Dugnat G., Sanchez P., 2001, vol. 4, p. 1818]. One of the most famous drypoint engravers of the 19th century, Marcellin Desboutin (1823-1902) dedicated a small portrait to him, of which the Bibliothèque nationale de France keeps a copy (BnF, Estampes et photographie, FOL/EF/415 /I/1). Like his brother Eliezer (1820-1894), Édouard seemed as gifted for drawing as for finance. It is to his hand that we owe the illustrations of the Notes de voyage written by Louise Cahen d'Anvers (1845-1926) on the occasion of her crossing of Latin America (Paris, coll. Monbrison, 1893), or a beautiful album of sketches made in the Swiss Alps (coll. Leroy-D’Amat, Albums de dessins d’É. Levi Montefiore, 1883-1894). As for his public production, he adapted 25 drawings by Eugène Fromentin (1820-1876) into engravings, accompanied by a text by Philippe Burty (1830-1890) (Burty P., 1877).

The union of Édouard Levi Montefiore with Emma Cahen d'Anvers — whose features are known to us thanks to a portrait preserved by one of her descendants (Paris, Private Collection) — reinforced the presence of the two families on the European markets. In finance as well as in their real estate choices, the Montefiores and the Cahens d'Anvers adopted similar policies. In Brussels, Édouard's family owned a sumptuous mansion, at 35 rue des Sciences, the current seat of the Belgian Council of State. While the Cahen d'Anvers had several chateaux near Paris, the Montefiores preferred Wallonia: the couple regularly visited Georges Montefiore (1832-1906) at the Rond-Chêne estate, in Esneux (coll. Laroque family, Photographie de famille au Rond-Chêne, 1885 ca). For their part, Édouard and Emma set up a ‘country house’ in Coucy-le-Château-Auffrique (Aisne) as their summer residence. Here, at the Domaine de Moyembrie, their grandson Seymour de Ricci (1881-1942), a great scholar, historian and renowned epigraphist, took his first steps (Ramsay N., 2013).

Family, Social Life, Religion

Moving between France, Italy and Belgium, the Montefiores inhabited an upscale environment familiar to Emma's parents. The two families were the embodiment of upper class Europeans with diverse interests. Like several members of the Cahen d'Anvers family, Édouard Levi Montefiore was portrayed by one of the most famous artists of the Third Republic, Léon Bonnat (1833-1922) [Montréal, coll. go.]. Since 1882, a friendship bound him to Ernest Meissonier (1815-1891). It was at this time that one of the couple's children came home with two of the painter's paintings, bought "from a cane and umbrella merchant near Saint-Augustin": they had to be returned to the painter the day he presented himself at the Montefiore's, accompanied by a police commissioner, declaring that his works had been stolen (Montefiore R., 1957, p. 24).

Another prestigious friendship was formed between Édouard, his brothers, and Louis Pasteur (1822-1895). Knowing of the family's overseas activity, the scientist went to their home on Avenue Marceau around 1893, to "spread his bitterness", at the end of an unfinished attempt to reduce the population of Australian rabbits with the introduction of myxomatosis (Id., p. 30-31).

Equally fruitful relationships link Édouard Levi Montefiore and his wife to the composer César Franck (1822-1890), who gave singing lessons to their daughter, or to Asian art aficionados such as their sister-in-law Louise Cahen d' Antwerp, Philippe Burty, Edmond Taigny (1828-1906), Henri Cernuschi (1821-1896), Charles Ephrussi (1849-1905) and Louis Gonse (1846-1921).

In Paris, in the second half of the 19th century, alongside the Rothschilds, the Ephrussis and the Pereires, the Bischoffsheims, and the Camondos, the families Montefiore and Cahen of Anvers earned their standing on the stock exchange as well as in the salons and in prestigious clubs, rubbing shoulders with a conservative aristocracy that rarely hid its contempt for the Jews.

From the forty-six years of marriage of Édouard Levi Montefiore and Emma Cahen d'Anvers were born numerous descendants, despite two terrible early losses: Anna (1860-1863) and Alice (1863-1869) survived only three and six years respectively. Hélène (1857-1932), Georges (1864-1903) and Raoul (1872-1963) ensured the continuation of the line (Legé, A.S., 2020).

Through one of the marriages of this second generation, that of Raoul with Jeanne Machiels (1877-Auschwitz, July 23, 1943), the Cahens d'Anvers and the Montefiores further strengthened their social network: Jeanne was the granddaughter of Joseph Alfred Cahen (1809-1890), younger brother of the patriarch of the Cahen d'Anvers. In parallel, the marriage of Hélène Montefiore with James Herman de Ricci (1847-1900), a descendant of a Florentine noble family, is an expression of a formal success as well as of exogamy, marriage between religions. Georges, for his part, celebrated his union with Esther Antokolsky (1875-n.d.), daughter of the great Lithuanian-Russian sculptor Mark Antokolsky (1843-1902) [Legé, A.S., 2020, p. 70-71, 79-81].

Despite his daughter Hélène’s mixed marriage, Édouard Levi Montefiore’s registration with the Society for Jewish Studies (Actes et Conférences de la Société des études Juifs, t. 1, 1886. p. 82) as well as the epigraph "שָׁלוֹם" (shalom) adorning the family tomb (cimetière de Montmartre, 3e division, no 250) bear witness to a deep attachment to Jewish tradition, rarely noted among the various branches of the Cahen d'Anvers family. Within an elite minority, which fought for its integration into an often malicious Catholic society, the choice of a Yiddish inscription, short and positive, sends a very clear message: Édouard Levi Montefiore was open about his origins and identified himself with his roots.

Article by Alice S. Legé (translated by Jennifer Donnelly)

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Liens entre personnes
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Raphaël Collin côtoie les amateurs lors des ventes publiques et chez les marchands Hayashi et Bing, notamment à l’occasion des fameux dîners japonais donnés par celui-ci. « Il se rappelait les belles soirées d’autrefois, chez Gillot ou chez Bing, ces soirées inoubliables où l’on devisait entre amis : Montefiore, Théodore Duret, Louis Gonse, Georges Clemenceau, Henri Vever, Raymond Kœchlin, tous envoûtés par l’art nouvellement révélé, tous communiant dans le même culte du japonisme » (Source : notice Agorha « Raphaël Collin » rédigée par Salima Hellal)

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À la vente de la collection d'Edouard Lévy Montefiore, en mai 1894, Georges Marteau fait l’acquisition d’un somptueux casque en fer forgé, orné de trois larges feuilles de mauve, à visière et couvre-nuque en fer damasquiné d’argent et décoré de feuillages de mauve, pièce dont Louis Gonse vante déjà la beauté en 1883. (Source : notice Agorha "Georges Marteau" rédigé par Jude Talbot)

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Henri Vever fait partie du comité d'organisation de la première exposition exclusivement centrée sur la gravure japonaise avec Édouard Lévy Montefiore (1826-1906), Philippe Burty (1830-1890), Edmond de Goncourt (1822-1896), le peintre Charles Tillot (1825-1906), un ami de Degas, Charles Gillot (1853-1903), Georges Clémenceau (1841-1929), Antonin Proust (1832-1905) et Edmond Taigny (1828-1905). (Source : Notice Agorha "Henri Vever" rédigée par Geneviève Aitken)

Bibliographies / archives
Sources en ligne
Date de consultation : 
10/03/2021
Commentaire Sources en ligne : 

Ramsay, Nigel. “De Ricci, Seymour (de)”, Dictionnaire critique des historiens de l’art. Paris : INHA, édition en ligne, 2013.

Date de consultation : 
01/04/2021
Commentaire Sources en ligne : 

Notice catalogue BNF : https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12100542x

Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
Licence
Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Alice S. Legé