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Gasnault, Paul

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Publiée
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nvoleon
Dernière modification
25/03/2024 13:18 (il y a 7 mois)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Gasnault
Prénom : 
Paul
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Gasnault
Prénom : 
Paul Charles
Qualificatif : 
Naissance et mort
Date de naissance : 
19 octobre 1828
Lieu de naissance : 
Commentaire Lieu de naissance : 

6e arr.

Date de mort : 
6 janvier 1898
Lieu de mort : 
Commentaire Lieu de mort : 

9e arr.

Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1828 - Vers 1830
Adresse : 

15 (ancien numéro) quai Malaquais

Code postal : 
75006
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
Vers 1830 - Vers 1831
Adresse : 

5 (no ancien) rue du Pont-de-Lodi

Code postal : 
75006
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
Vers 1832 - 1838
Adresse : 

12 (n° ancien) rue Chanoinesse

Code postal : 
75004
Ville : 
Professions / activités
Type de profession / activité : 
Date d'activité : 
1878 - 1898
Type de profession / activité : 
Date d'activité : 
1882 - 1898
Type de profession / activité : 
Commentaire Professions / activités : 

Collectionneur de céramique et de verrerie

Une partie de sa collection, rachetée par Adrien Dubouché en 1880, compose le Musée national Adrien Dubouché, Limoges

Biographie
Commentaire biographique : 

Paul Gasnault naît le 19 octobre 1828 à Paris où son père Jacques-François (1790-1837) tient un office d’avoué près le tribunal de première instance : il est notamment le conseil du pamphlétaire Paul Louis Courier (1772-1825). Sa mère, Henriette Sophie née Mouquin (1802-1844), est la fille d’un joaillier d’origine suisse, membre du consistoire réformé de Paris : elle apporte au ménage une dot considérable de 300 000 francs. Mais la santé de l’avoué se dégrade ce qui l’amène, en 1831, à céder sa charge à son cousin Jacques-Dominique Belland. En 1835, un accident vasculaire cérébral le laisse paralysé et altère son comportement au point de laisser supposer qu’il souffre de maladie mentale, ce qui provoque, fin 1836, son internement à l’hospice d’aliénés de Charenton (Saint-Maurice) où il meurt en octobre 1837. Sept ans plus tard, Paul Gasnault perd successivement son frère aîné, à peine âgé de dix-neuf ans, puis sa mère. Deux amis de la famille, un avocat d’origine belge, Charles Henri Amédée Vervoort (1798-1846), puis Pierre Jacques Martin Crosse (1789-1862), avoué honoraire, sont successivement désignés tuteurs de l’orphelin. Le second héberge l’adolescent à son domicile de la rue de Berlin où réside également une femme que Paul Gasnault a toujours présentée comme sa « mère adoptive » : elle aussi prénommée Henriette, Mlle de Tonniges, née à Dantzig (actuel Gdansk) en 1798, fille et nièce de négociants hanséatiques, propriétaire et rentière, est l’amie de Cécile Furtado-Heine, la richissime philanthrope apparentée aux Fould.

Élève au collège Bonaparte (actuel lycée Condorcet) jusqu’au baccalauréat obtenu en 1849, Paul Gasnault entame des études de droit tout en poursuivant son éducation artistique (dessin et musique). En 1851, il est recruté comme surnuméraire au secrétariat général du ministère de l’Instruction publique ; trois ans de labeur non rémunéré et l’appui insistant d’Achille Fould, alors ministre d’État, sont nécessaires pour lui procurer un poste d’expéditionnaire dans cette administration. En mars 1857, lassé d’un travail routinier sans perspective d’avancement, il démissionne pour se consacrer à la critique d’art et à sa passion naissante pour les céramiques et les porcelaines anciennes, principalement françaises, chinoises et japonaises. Dépourvu de patrimoine foncier, il amorce une carrière de collectionneur en entamant un capital exclusivement constitué des créances et des valeurs mobilières dont il a hérité. Resté célibataire et vivant toujours en compagnie d’Henriette de Tonniges, le plus souvent au domicile de son ancien tuteur, l’été dans leur villégiature de Saint-Cloud, il se rend parfois en Suisse, mais le voyage en Extrême-Orient n’est pas à sa portée.

Ayant fait, dans des circonstances qui restent à élucider, la connaissance d’Albert Jacquemart (1808-1875), le premier historien d’art français spécialiste de la céramique, il se fait son disciple et structure, grâce à lui, ses connaissances dans cette branche des arts décoratifs. Le collectionnisme enclenche ainsi le processus qui métamorphose très graduellement le (modeste) rentier en exposant, puis en conservateur de musée, c’est-à-dire aussi en salarié, ce qui peut s’interpréter de deux façons qui du reste ne s’excluent pas. Le capital intellectuel accumulé dans les travaux d’érudition a sans doute offert à Paul Gasnault l’opportunité d’embrasser sur le tard une carrière en rapport avec ses compétences, mais sa professionnalisation a aussi bien pu s’imposer à lui par suite de l’épuisement de ses ressources, provoqué par d’incessants achats d’objets d’art, son recrutement lui sauvant alors la mise.

L’intérêt de la collection constituée par Paul Gasnault était déjà assez notoire pour que l’Union centrale des arts décoratifs appliqués à l’industrie (UCAD), officiellement fondée en 1864, le sollicite l’année suivante pour sa première manifestation au Palais de l’industrie, le « Musée rétrospectif », où il expose en effet 52 pièces (UCAD, Catalogue du musée rétrospectif, 1867, passim). Comme il l’écrit lui-même dans la notice biographique jointe à son dossier de Légion d’honneur, il participe ensuite « à toutes les expositions de l’Union centrale » (AN, LH/1082/43), notamment à celle présentée en 1869 qui comporte un « musée oriental » où de nouvelles pièces de sa collection emplissent une armoire et deux vitrines (UCAD, « Exposition des beaux-arts appliqués à l’industrie. Guide du visiteur au Musée oriental », 1869, p. 16-17). Son expertise commence à être si bien reconnue qu’en 1871 Adrien Dubouché l’associe « à l’organisation du musée céramique de Limoges » (AN, ibidem) ; Gasnault joue un rôle déterminant auprès d’Albert Jacquemart puis, après sa mort en 1875, auprès de sa veuve et de son fils Jules, dans la négociation qui aboutit à la vente de sa collection au musée ; il en accompagne le transfert (comme il le fera quelques années plus tard pour sa propre collection) et il en dresse minutieusement le catalogue que la Ville de Limoges publie en 1879. L’année précédente a été celle du basculement de son statut socioprofessionnel : il la commence en quasi-bénévole comme « secrétaire [de la 4section de la commission d’admission à] la partie rétrospective de l’Exposition universelle » (AN, ibidem) de 1878, mais elle s’achève par son embauche comme conservateur du tout nouveau musée des Arts décoratifs, ce qui signifie que l’UCAD, hier son emprunteur, est devenue son employeur.

Parfois aussi désigné comme secrétaire général du musée, Gasnault assure la direction de l’établissement durant près de vingt ans, soit jusqu’à son décès : il veille à l’accroissement de ses collections, auquel il contribue par des dons manuels réguliers (de céramiques, mais aussi de bijoux et de tissus), ainsi qu’à leur présentation provisoire au palais de l’industrie ; il fait sienne la cause du transfert au pavillon de Marsan, sans vivre assez longtemps pour la voir triompher. Par ailleurs, il cumule, à partir de 1882, son emploi parisien avec un second poste de conservateur en prenant la succession d’Adrien Dubouché, disparu en 1881, comme conservateur du musée de Limoges, devenu national, ce qui lui permet, lors de séjours sans doute assez courts et espacés, de renouer avec sa première collection et de la mettre en valeur.

La promotion de l’amateur éclairé en spécialiste d’envergure européenne monte encore d’un degré avec la publication en 1882 par son disciple Édouard Garnier de la première édition, chez Mame, d’une Histoire de la céramique… qu’il préface et qui a dès 1884 les honneurs d’une traduction anglaise sous le patronage du South Kensington Museum. Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1885, Gasnault est désormais dans le domaine des porcelaines extrême-orientales une figure d’autorité qu’un Émile Guimet (1836-1918), par exemple, ne manque pas de consulter, ce dont témoigne une correspondance conservée au Musée national des Arts asiatiques – Guimet, où il est question de prêts, d’échanges et d’expertises.

Quoiqu’il faille être prudent dans ce registre, on peut supposer que la reconnaissance de ses pairs et la réputation acquise auprès des connaisseurs ont pu alléger un peu le poids des épreuves d’ordre privé qui ont régulièrement accablé Gasnault à partir de la fin du Second Empire. À la fin de l’été 1870, c’est à Berne que la nouvelle de la déroute des armées françaises à Sedan l’avait atteint. Henriette de Tonniges et lui s’y trouvent bloqués durant de longs mois, presque à bout de ressources et redoutant d’apprendre que leur maison de campagne a subi le même sort funeste que le château de Saint-Cloud, bombardé par les troupes françaises, ce qui ne se vérifie heureusement pas. Mais après leur retour à Paris, les soins à prodiguer à sa protectrice devenue presque aveugle requièrent de plus en plus le collectionneur et sa disparition, en 1878, l’ébranle profondément. Paul Gasnault s’éloigne des lieux où ils ont vécu et il s’installe pour quelques années près du cimetière du Père-Lachaise où, comme sa mère biologique, elle est enterrée. En 1888 toutefois il regagne le quartier de l’Europe, louant un appartement rue de Milan. Deux ans plus tard, il doit mettre en vente sa deuxième collection. Son décès survient en janvier 1898, durant la nuit des rois. Faute de descendance et hormis une ultime donation – finalement convertie en legs – au musée des Arts décoratifs, Gasnault avait fait de son ami le banquier René Loiselle son légataire universel. L’héritier s’empresse de passer en vente publique les livres, les céramiques et les autres biens mobiliers dont il a hérité, ce qui lui rapporte près de 64 000 F (AP, D48E3 82 et 83). Il faudra tenter de s’assurer qu’il ne se serait pas ainsi remboursé des prêts qu’il avait pu consentir à celui qui était aussi son client, pour l’aider à assouvir sa passion de collectionneur.

Article rédigé par Pauline d'Abrigeon et François Gasnault

Commentaire biographique : 

Paul Gasnault was born on October 19, 1828 in Paris where his father, Jacques-François (1790-1837), was an attorney at the court of first instance; he was notably the counsel of the pamphleteer Paul Louis Courier (1772-1825). His mother, Henriette Sophie née Mouquin (1802-1844), was the daughter of a jeweller of Swiss origin and a member of the Protestant consistory of Paris: she brought a considerable dowry of 300,000 Francs to the household. But the lawyer's health deteriorated, a challenge which led him to pass on his charge to his cousin Jacques-Dominique Belland in 1831. In 1835, a stroke left him paralysed and altered his behaviour to the point of suggesting mental illness, which at the end of 1836 resulted in his commitment to the insane asylum of Charenton (Saint-Maurice) where he died in October 1837. Seven years later, Paul Gasnault successively lost his older brother, barely nineteen years old, and then his mother. Two friends of the family, a lawyer of Belgian origin, Charles Henri Amédée Vervoort (1798-1846), then Pierre Jacques Martin Crosse (1789-1862), honorary attorney, were successively appointed guardians of the orphan. The second accommodated the teenager at his home in the rue de Berlin, where a woman resided whom Paul Gasnault always introduced as his "adoptive mother". She was also named Henriette, Mlle de Tonniges, and was born in Danzig (now Gdansk) in 1798, as the daughter and niece of Hanseatic merchants. She was an owner and rentier and was the friend of Cécile Furtado-Heine, the wealthy philanthropist related to the Foulds.

Paul Gasnault was a student at the collège Bonaparte (current Lycée Condorcet) where he began studying law while continuing his aartistic education (drawing and music) until obtaining the baccalaureate in 1849. In 1851, he was recruited as a supernumerary in the general secretariat of the Ministry of Public Instruction; three years of unpaid labor and the insistent support of Achille Fould, then Minister of State, were necessary to secure him an expeditionary post in this administration. In March 1857, tired of a routine job with no prospect of advancement, he resigned himself to focussing on art criticism and his growing passion for ancient ceramics and porcelain, mainly French, Chinese and Japanese. Devoid of real estate, he began a career as a collector by starting a capital that consisted exclusively of debts and securities he inherited. He remained single and still lived in the company of Henriette de Tonniges. They most often stayed at the home of his former tutor, and in the summer they lived in their holiday resort of Saint-Cloud. He sometimes went to Switzerland, but a journey to the Far East was out of his reach.

In unknown circumstances, Paul Gasnault met Albert Jacquemart (1808-1875), the first French art historian specialising in ceramics, and soon became his follower. Thanks to Jacquemart, Gasnault structured his knowledge in this branch of the decorative arts. Collecting thus began the process, which very gradually transformed the (modest) annuitant into an exhibitor and then into a museum curator, that is to say also into an employee, which can be interpreted in two ways that are not mutually exclusive. The intellectual capital accumulated in scholarly work undoubtedly offered Paul Gasnault the opportunity to later embrace a career that aligned with his skills. His turn towards this profession, however, may have served as a rescue from penury due to the depletion of his resources caused by incessant purchases of art objects.

The interest of the collection put together by Paul Gasnault was already notorious enough for the Union centrale des arts décoratifs appliqués à l’industrie (UCAD), officially founded in 1864, to solicit him the following year for its first event at the Palais de l’industrie, the "musée rétrospectif", where he indeed exhibited 52 pieces (UCAD, Catalogue du musée rétrospectif, 1867, passim). As he himself wrote in the biographical notice attached to his file for the Légion d’honneur, he then participated "in all the exhibitions of the Union centrale" (AN, LH/1082/43), in particular that of 1869 which included an "oriental museum" where new pieces from his collection filled a cabinet and two display cases (UCAD, "Exposition des beaux-arts appliqués à l'industrie. Guide du visiteur au Musée oriental", 1869, p. 16-17). His expertise began to be so well recognised that in 1871 Adrien Dubouché involved him in "the organisation of the ceramic museum of Limoges" (AN, ibidem). Gasnault played a decisive role with Albert Jacquemart and then, after his death in 1875, with his widow and his son Jules, in the negotiations leading to the sale of his collection to the museum. He oversaw the transfer (as he would do a few years later for his own collection) and meticulously drew up the catalogue published by the city of Limoges in 1879. The previous year, his socio-professional status changed: he began it as a quasi-volunteer as "secretary [of the 4th section of the admission commission to] the retrospective part of the Exposition universelle (AN, ibidem) of 1878, but it ended with his hiring as curator of the brand new Musée des arts décoratifs, which meant that UCAD, which formerly had borrowed from him, now employed him.

Sometimes also designated as general secretary of the museum, Gasnault was in charge of the establishment for nearly twenty years, i.e. until his death: he ensured the growth of its collections, to which he contributed by regular manual donations (of ceramics, but also jewelry and fabrics), as well as their temporary presentation at the Palace de l’industrie; he made the cause of the transfer to the Pavillon de Marsan his own, without living long enough to see it triumph. Additionally, in 1882, he combined his Parisian job with a second curator position by taking over from Adrien Dubouché who died in 1881, as curator of the Limoges museum, which had become national and which enabled him, to reconnect with and showcase his first collection during quite short and spaced out stays.

The promotion of the enlightened amateur to a specialist of European stature went a step further with the 1882 publication of the first edition of of a Histoire de la céramique... by his disciple Édouard Garnier with the publisher Mame. Gasnault prefaced this publication, and in 1884, it had the honour of being translated into English under the patronage of the South Kensington Museum. Appointed chevalier de la Légion d’honneur in 1885, Gasnault was henceforth a figure of authority in the field of Far Eastern porcelain that Émile Guimet (1836-1918), for example, did not fail to consult, as evidenced by a correspondence preserved at the Musée national des Arts asiatiques – Guimet, where it was a question of loans, exchanges and expertise.

Although we must be careful in this regard, we can suppose that the recognition of his peers and the reputation acquired among connoisseurs could lighten the weight of the private ordeals, which regularly overwhelmed Gasnault from the end of the Second Empire. At the end of the summer of 1870, the news of the rout of the French armies at Sedan had reached him in Bern. He and Henriette de Tonniges found themselves stranded there for long months, almost at the end of their resources and dreading to learn that their country home had suffered the same disastrous fate as the Château de Saint-Cloud, which had been bombarded by French troops. Fortunately, this fear did not hold true. After their return to Paris, however, the care required for his protector, who had become almost blind, demanded more and more of the collector, and her death in 1878 shook him deeply. Paul Gasnault moved away from the places where they lived and settled for a few years near the Père-Lachaise cemetery where, like his biological mother, she was buried. In 1888, however, he returned to the Europe district and rented an apartment on rue de Milan. Two years later, he had to put his second collection up for sale. His death took place in January 1898, during Twelfth Night. Due to his lack of descendants, Gasnault had made his friend, the banker René Loiselle, his universal legatee. Apart from a final donation, which was finally converted into a bequest to the Musée des arts décoratifs, the heir hastened to sell the books, ceramics and other movable property he had inherited, which brought him nearly 64,000 F (AP, D48E3 82 and 83). It is possible that this hastened sale was a way for Loiselle to receive a repayment of the loans that he had granted to Gasnault, who was also his client, to fund the accumulation of the collection.It will be necessary to try to ensure that he would not have thus repaid the loans that Loiselle had been able to grant to Gasnault who was also his client, to help him satisfy his passion as a collector.

Article by Pauline d'Abrigeon and François Gasnault (Translated by Jennifer Donnelly)

Thèmes d'étude
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Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Porcelaine, textiles, bronzes, laque, émaux cloisonnés, émaux peints, bois sculpté, orfèvrerie, tabatières (techniques diverses), mobilier

Aire géographique étudiée : 
Technique étudiée : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Céramique, bronzes, laques (boîtes, écritoires, inro, etc.) ivoire et bois sculpté (netsuke, masques, sculpture de divinités)

Aire géographique étudiée : 
Secteur fondamental d'étude : 
Commentaire Thèmes d'étude : 

[Objets collectionnés] Verrerie

Liens entre personnes
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En 1869, Benjamin Jaurès expose des céramiques au Musée Oriental de l'Union Centrale des Beaux-arts appliqués à l'industrie, exposition dont le catalogue est dressé par Albert Jacquemart et Paul Gasnault. (Source : notice Agorha "Benjamin Jaurès" rédigée par Pauline d'Abrigeon)

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Paul Gasnault se fait le « disciple » d'Albert Jacquemart et structure à son contact ses connaissances en céramique. (Source : notice Agorha « Paul Gasnault » rédigée par Pauline d'Abrigeon et François Gasnault)

En 1869, Paul Gasnault et Albert Jacquemart rédigent ensemble le catalogue de l'exposition du Musée Oriental de l'Union Centrale des Beaux-arts appliqués à l'industrie. (Source : notice Agorha « Benjamin Jaurès » rédigée par Pauline d'Abrigeon)

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Albert Bourée échange avec Paul Gasnault, conservateur de l'UCAD, lorsqu'il dépose des porcelaines de Chine en prêt à l'UCAD dans les années 1890. (Source : notice Agorha « Albert Bourée » rédigée par Claire Déléry et Lucie Chopard)

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0000 0000 6932 4717
Date de consultation : 
28/04/2022
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Paul Gasnault (1828-1898)
Date de consultation : 
28/04/2022
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Institut national d'histoire de l'art (France)
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Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
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Rédacteur
Pauline d'Abrigeon