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Lansyer, Emmanuel

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fmatz
Dernière modification
21/02/2024 13:42 (il y a 3 mois)
Type de personne
Type de personne : 
Noms
Nom : 
Lansyer
Prénom : 
Emmanuel
Sexe : 
Nationalité : 
Nom : 
Lansier
Prénom : 
Emmanuel Alexandre Joseph
Qualificatif : 
Naissance et mort
Date de naissance : 
19 février 1835
Lieu de naissance : 
Date de mort : 
21 octobre 1893
Lieu de mort : 
Adresses
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1860 - 1872
Adresse : 

81, boulevard du Montparnasse

Code postal : 
75006
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1875 - 1893
Adresse : 

29, quai de Bourbon

Code postal : 
75004
Ville : 
Type d'adresse : 
Date de l'adresse : 
1870 - 1893
Adresse : 

1, rue Lansyer

Code postal : 
37600
Ville : 
Commentaire Adresses : 

Ancienne rue Charles VII

Professions / activités
Type de profession / activité : 
Biographie
Commentaire biographique : 

Peintre à la formation académique et au regard réaliste, Lansyer est un artiste connu notamment pour ses marines, ses paysages et ses vues d’architectures. Collectionneur passionné et auteur de poèmes, il réalise également des portraits, des natures mortes et des aquarelles japonisantes, en forme d’éventail. Sa carrière atteint l’apogée du succès en 1881, année où il est nommé chevalier de la Légion d’honneur et devient membre du jury du Salon.

Milieu familial et formation artistique

Emmanuel Lansyer est né le 19 février 1835 à Bouin, un petit bourg de Vendée, et décédé à Paris le 21 octobre 1893, à l’âge de 58 ans. À trois ans, il s’installe avec sa famille à Machecoul, car son père, Fidèle Alexandre Lansyer (né en 1880), obtient un poste de médecin au collège de Pontlevoy.

En 1847, Lansyer entre au collège royal de Nantes, où ses parents l’envoient en raison de ses mauvais résultats scolaires. Ce sera pour lui une période très douloureuse, durant laquelle son seul soulagement est le dessin, matière où il obtient un prix chaque année. Son talent est apprécié par ses professeurs, notamment par le père Laydet, peintre amateur, qui lui fait copier ses propres études. Durant ses journées de sortie, Lansyer passe son temps au musée des Beaux-Arts de Nantes, où il étudie les œuvres de Camille Corot (1796-1875), de Charles-François Daubigny (1817-1878) et de Théodore Rousseau (1812-1867) (Blacas, D., 2004, p. 8).

Ses parents s’opposent à son désir de devenir peintre, en particulier son père, qui envisage pour lui une carrière dans le notariat ou dans l’administration des finances. Le jeune homme est donc obligé à accepter un compromis et s’oriente ainsi vers des études d’architecture. En 1855, il va apprendre le métier auprès de son cousin architecte Alfred Dauvergne (1824-1885)à Châteauroux. Deux ans après, il achève sa formation à Paris. Ici, Lansyer entre à l’atelier d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), où il apprend les différents procédés techniques du dessin (Blacas, D. de, 2004, p. 10). Il est apprécié par son maître qui lui propose un poste d’architecte de département. Déterminé à devenir peintre, Lansyer refuse cette opportunité et transmet à ses parents sa décision, ce qui suscite une réaction très violente de la part de son père, qui lui coupe les vivres, alors que sa mère continue à lui envoyer de l’argent (Blacas, D. de, 2004, p. 11). 

À Paris, Lansyer suit les cours de dessin classique à l’École nationale avec Lamotte, peintre de sujets historiques, sans négliger ses études en plein air. Son fusain Paysage d’hiver, accepté au Salon de 1861, est remarqué par la critique. En décembre 1861, il s’inscrit à l’atelier que Gustave Courbet (1819-1877) vient d’ouvrir à Paris. C’est auprès du maître du réalisme qu’il débute sa formation à la peinture à l’huile. Cette expérience ne dure que quelques mois, mais elle sera essentielle dans la carrière du jeune artiste. En août 1862, Lansyer rejoint l’atelier d’Henri Harpignies (1819-1916) à Cernay, où il reprend ses études en pleine nature, soutenu par les conseils de son maître, grâce auquel Lansyer peut finalement trouver sa voie dans la peinture de paysage. Il retourne ensuite à Cernay à plusieurs reprises (1869, 1875 et 1877).

Lansyer présente au Salon de 1863 sa première peinture, mais il est rejeté. Il accepte alors de l’exposer au Salon des refusés, où elle ne pas passe pas inaperçue connaissant un certain succès (Blacas, D. de, 2004, p. 12-13).

Lansyer peintre voyageur

Lansyer passe d’habitude ses hivers à Paris pour retravailler ses tableaux destinés au Salon, et voyage le reste de l’année.

En 1863, Lansyer part pour le Finistère. Il s’installe à Douarnenez, où il retrouve d’autres peintres et divers poètes parnassiens, Sully Prudhomme (1839-1907) et José Maria de Hérédia (1842-1905) entre autres, à qui il se lie d’amitié. Il devient bientôt une figure majeure de ce petit cénacle d’artistes et poètes séjournant en Bretagne. Dans ce décor champêtre et marin, où il retourne durant quatorze années, Lansyer passe de longues heures à peindre en plein air, inspiré par les contrastes lumineux et la végétation (Blacas, D. de, 2004, p. 14). 

En 1868, Philippe Burty (1830-1890) lui commande une gravure intitulée La Fontaine, pour son recueil Sonnets et eaux-fortes publié l’année suivante (Bailly-Herzberg, J, 1985, p. 177).

En 1870, Lansyer entreprend un voyage à la découverte de l’Italie, où il débarque à Rome. L’année suivante c’est le soleil du Sud de la France qui attire le paysagiste. Il y retournera vers 1890 à la recherche d’un climat tempéré, sous les conseils de son médecin, ayant des problèmes de santé (Blacas, D. de, 2004, p. 140-143). 

Vers 1875, Lansyer séjourne dans sa région natale, peu fréquentée par les artistes, où il saisit les effets de la lumière et se consacre à la représentation des marais salants, notamment au lever du jour. Il se dirige ensuite dans le Nord, à Lille, puis sur la côte normande, séduit par la puissance des vagues et des masses rocheuses. Ces dernières font l’objet d’études réalisées sur l’île d’Ouessant, où il débarque en août 1885, fasciné par les paysages sauvages (Blacas, D. de, 2004, p. 23-24 ; 48). À partir de 1882, Lansyer consacre une série d’études à Parthenay, à Clisson et au château de Saint-Loup-sur-Thouet. C’est notamment dans les vues du patrimoine architectural français que son talent se déploie, comme le montre par exemple le Belvédère du Petit Trianon présenté au Salon de 1889 (MO, n.inv. RF624). Parmi les nombreux lieux qui ont inspiré ses tableaux, on compte la vallée de Chevreuse, la forêt d’Yvelines, le Mont-Saint-Michel, Granville, Loches, en particulier son château, Menton et Venise, où il séjourne plus d’un mois en 1892. En 1889, à l’occasion de l’exposition universelle, la ville de Paris lui commande deux séries de vues : la première concernant les rues de la capitale et la seconde consacrée aux immeubles portant des plaques commémoratives (Blacas, D. de, 2004, p. 164). 

La maison musée Lansyer

Pour échapper à l’oubli, Lansyer rédige l’inventaire de ses œuvres et de celles faisant partie de sa collection ainsi que sa biographie. Collectionneur passionné, il commence à acheter des objets d’art chinois et japonais probablement à partir des années 1870 auprès des boutiques de curiosités et des marchands d’art asiatique à Paris. Lansyer fréquente souvent les ventes aux enchères, où il achète divers spécimens de sa collection orientale (Moscatiello, M., 2011, p. 88).

Lansyer lègue à la ville de Loches sa maison familiale, 6 000 objets dont près de 500 tableaux, environ 2 000 gravures, plus de 1 000 objets asiatiques, près de 2 000 photographies, sa bibliothèque ainsi que ses objets personnels. Ce don est portant soumis à certaines conditions, qu’il précise dans son testament : « Il sera crée à Loches, dans ma maison sus-indiquée, un musée qui portera le nom de Maison Lansyer et qui sera à perpétuité entretenu aux frais de la ville de Loches. […] Je veux qu’une fois prélevée sur le capital légué par moi la somme nécessaire à la première installation du musée, le revenu du capital restant soit uniquement employé à l’entretien, à l’embellissement, à l’extension de ce musée et de ses collections […] » (Maison-musée Lansyer, Loches (MMLL), Fonds Lansyer, s.c.). Le conseil municipal de Loches accepte le legs Lansyer lors de la séance du 7 novembre 1894 et le 13 juillet 1902 le musée est inauguré (Blacas, D. de, 2004, p. 166).

La maison musée Lansyer à Loches abrite un nombre important de tableaux et carnets de croquis de Lansyer ; ses œuvres sont également conservées dans d’autres institutions tels le musée d’Orsay, le musée Carnavalet ou les musées des Beaux-Arts de Tours, de Rennes et de Quimper.

Distinctions

Emmanuel Lansyer est nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1881. L’insigne, composée d’une étoile à cinq rayons, est léguée à la ville de Loches en 1893, ainsi que d’autres récompenses. Lansyer obtient diverses médailles durant sa carrière : aux Salons de 1865, 1869, 1876, et 1881, à l’exposition de Carcassonne de 1867, à l’exposition internationale de Londres de 1872, à l’exposition universelle de Vienne de 1873, à l’exposition internationale des Beaux-arts et de l’industrie de Londres de 1874, au Salon des Arts décoratifs de 1880, à l’exposition des Arts décoratifs de 1882 et à l’exposition d’Amsterdam de 1883. À partir de 1881 et jusqu’à 1891, Lansyer est membre du jury du Salon (MMLL, Fonds Lansyer, s.c.).

Article rédigé par Manuela Moscatiello

Commentaire biographique : 

An academically trained painter who adopted a realist approach, Lansyer was an artist known primarily for his seascapes, landscapes, and architectural views. A passionate collector and writer of poems, he also painted portraits, still lifes, and Japanese-inspired watercolours, in the form of fans. His career reached the height of success in 1881, when he was made a Chevalier de la Légion d’Honneur and became a member of the Salon’s jury.

Family background and artistic training

Emmanuel Lansyer was born on 19 February 1835 in Bouin, a small village in the Vendée, and passed away in Paris on 21 October 1893, at the age of fifty-eight. At the age of three, he moved with his family to Machecoul, as his father, Fidèle Alexandre Lansyer (born in 1880), had taken up a post as a doctor at the Collège de Pontlevoy.  

In 1847, Lansyer studied at the Collège Royal in Nantes, where his parents sent him due to his poor performance in school. This was a very difficult period for him and he sought relief in drawing, a subject in which he was awarded a prize each year. His talent was appreciated by his teachers, in particular, by Père Laydet, an amateur painter, who made him copy his own studies. During his days off, Lansyer spent his time in the Musée des Beaux-Arts in Nantes, where he studied the works of Camille Corot (1796–1875), Charles-François Daubigny (1817–1878), and Théodore Rousseau (1812–1867) (Blacas, D., 2004, p. 8).

His parents disagreed with his wish to become a painter, in particular his father, who had a notarial career or one in financial administration lined up for him. The young man was therefore obliged to accept a compromise and decided to study architecture. In 1855, he began to learn the métier with his architect cousin Alfred Dauvergne (1824–1885)in Châteauroux. Two years later, he completed his training in Paris. Here, Lansyer joined the studio of Eugène Viollet-le-Duc (1814–1879), where he learned the various technical processes of drawing (Blacas, D. de, 2004, p. 10). His work was appreciated by his master, who offered him a post as a departmental architect. Determined to become a painter, Lansyer turned down this opportunity and told his parents about his decision, which led to a very violent reaction from his father, who cut off his allowance, although his mother continued to send him money (Blacas, D. de, 2004, p. 11). 

In Paris, Lansyer attended classical drawing courses at the École Nationale run by Lamotte, a painter of historical subjects and outdoor scenes. His charcoal work Paysage d’Hiver, which was accepted at the 1861 Salon, was favourably received by the critics. In December 1861, he joined the studio that Gustave Courbet (1819–1877) had recently opened in Paris, and here he trained in oil painting with the master of realism. This experience only lasted several months, but it was a decisive step in the young artist’s career. In August 1862, Lansyer was admitted to the studio of Henri Harpignies (1819–1916) in Cernay, where he resumed his outdoor studies, with the help of his master’s advice, as a result of which Lansyer eventually found his vocation in landscape painting. He returned to Cernay on several occasions (1869, 1875, and 1877).

Lansyer presented his first painting at the 1863 Salon, but it was refused. Hence, he decided to exhibit the work at the Salon des Refusés, where it did not go unnoticed and even achieved some success (Blacas, D. de, 2004, pp. 12–13). 

Lansyer, an itinerant painter

Lansyer usually spent the winter in Paris, when he worked on the pictures he wished to submit to the Salon, and travelled the rest of the year.

In 1863, Lansyer left for Finistère. He settled in Douarnenez, where he met other painters and various Parnassian poets, such as Sully Prudhomme (1839–1907) and José Maria de Hérédia (1842–1905) amongst others, with whom he struck up friendships. He soon became a prominent figure in this small Brittany-based circle of artists and poets. In this pastoral and marine setting, which he returned to for fourteen years, Lansyer spent many hours painting outdoors, inspired by the luminous contrasts and plants (Blacas, D. de, 2004, p. 14). 

In 1868, Philippe Burty (1830–1890) commissioned an engraving from him entitled La Fontaine for his volume Sonnets et Eaux-Fortes published the following year (Bailly-Herzberg, J., 1985, p. 177).

In 1870, Lansyer went on a voyage of discovery of Italy and visited Rome. The following year, the landscape artist was drawn to the sunny south of France. He returned there circa 1890 in search of a temperate climate, on the advice of his doctor, as he was suffering from health problems (Blacas, D. de, 2004, pp. 140–143). 

Circa 1875, Lansyer stayed in his native region—which was relatively ignored by artists—, where he captured the effects of the light and devoted himself to representing the salt marshes, particularly at sunrise. He then headed north, to Lille, and afterwards to the coasts of Normandy, drawn by the power of the waves and the rocky masses. The latter were the subject of studies on the Île d’Ouessant, which he visited in August 1885, fascinated by the wild landscapes (Blacas, D. de, 2004, pp. 23–24; 48). As of 1882, Lansyer focused on a series of studies at Parthenay, Clisson, and the Château de Saint-Loup-sur-Thouet. His talent came to the fore, in particular, in his views of the French architectural heritage; this is evident, for example, in the Belvédère du Petit Trianon,which was presented at the 1889 Salon (MO, inventory no. RF624). Amongst the many places that inspired his pictures, were the Vallée de Chevreuse, the Forest of Yvelines, the Mont-Saint-Michel, Granville, Loches, in particular its château, Menton, and Venice, where he lived for over one month in 1892. In 1889, during the Exposition Universelle, the City of Paris commissioned two series of views from him: the first related to the capital city’s streets and the second was devoted to buildings bearing commemorative plaques (Blacas, D. de, 2004, p. 164). 

The Musée Lansyer in the artist’s home

In the interest of posterity, Lansyer drew up an inventory of his works and those in his collection, along with his biography. A passionate collector, he probably began to buy Chinese and Japaneseobjects d’art in the 1870s from curiosity shops and dealers of Asian art based in Paris. Lansyer often frequented auction rooms, where he purchased various objects for his Oriental Collection (Moscatiello, M., 2011, p. 88).

Lansyer bequeathed his family home to the Town of Loches, along with 6,000 objects, including almost 500 pictures, around 2,000 engravings, more than 1,000 Asian objects, almost 2,000 photographs, his library, and his personal objects. However, the donation was subject to certain conditions, which he specified in his will: ‘In Loches, in my above-mentioned house, a museum will be created that will be known as Maison Lansyer and which will be permanently maintained at the expense of the Town of Loches. (…) Once the necessary sum for the museum’s first installation has been deducted from the capital I have bequeathed, the revenue from the remaining capital shall be solely devoted to the maintenance, embellishment, and extension of the museum and its collections (…)’(MMLL, Fonds Lansyer, (inv. no. unknown)). The Loches Municipal Council accepted the Lansyer bequest during the session of 7 November 1894 and on 13 July 1902 the Musée was inaugurated (Blacas, D. de, 2004, p. 166).

The Musée Lansyer in the artist’s home in Loches houses a significant number of pictures and Lansyer’s sketchbooks; his works are also held in other institutions, such as the Musée d’Orsay, the Musée Carnavalet, and the Musées des Beaux-Arts in Tours, Rennes, and Quimper.

Distinctions

Emmanuel Lansyer was made a Chevalier de la Légion d’Honneur in 1881. The award, comprising a star with five points, was bequeathed to the Town of Loches in 1893, along with other awards. Lansyer obtained various medals during his career: at the 1865, 1869, 1876, and 1881 Salons, the 1867 Exposition de Carcassonne, the 1872 International Exhibition in London, the 1873 Universal Exhibition in Vienna, the LondonInternational Exhibition of Arts and Industries, the 1880 Salon des Arts Décoratifs, the 1882 Exhibition des Arts Décoratifs, and the 1883 Amsterdam exhibition. As of 1881, and until 1891, Lansyer was a member of the Salon jury (MMLL, Fonds Lansyer, (inv. no. unknown)).

Article by Manuela Moscatiello (Translated by Jonathan & David Michaelson)

Thèmes d'étude
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En 1868, Philippe Burty (1830-1890) commande à Emmanuel Lansyer une gravure intitulée La Fontaine, pour son recueil Sonnets et eaux-fortes publié l’année suivante (Bailly-Herzberg, J, 1985, p. 177).

(Source : Notice Agorha "Emmanuel Lansyer" rédigée par Manuela Moscatiello)


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Plusieurs objets de la collection d’art asiatique d'Emmanuel Lansyer sont présentés à l’occasion de manifestations publiques, telles la septième exposition de l’Union centrale des Arts décoratifs de 1882 ou l’exposition rétrospective de l’art japonais organisée par Louis Gonse (1846-1921) en 1883 (Catalogue de l’exposition rétrospective de l’art japonais, 1883, p. 409), attirant l’attention d’amateurs et d’experts comme Edmond de Goncourt (1822-1896) ou Paul Gasnault (1828 -1898), qui font l’éloge de divers spécimens appartenant à l’artiste (Gasnault, P., 1883, p. 253-254).

(Source : Notice Agorha "Emmanuel Lansyer" rédigée par Manuela Moscatiello)

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Plusieurs objets de la collection d’art asiatique d'Emmanuel Lansyer sont présentés à l’occasion de manifestations publiques, telles la septième exposition de l’Union centrale des Arts décoratifs de 1882 ou l’exposition rétrospective de l’art japonais organisée par Louis Gonse (1846-1921) en 1883 (Catalogue de l’exposition rétrospective de l’art japonais, 1883, p. 409), attirant l’attention d’amateurs et d’experts comme Edmond de Goncourt (1822-1896) ou Paul Gasnault (1828 -1898), qui font l’éloge de divers spécimens appartenant à l’artiste (Gasnault, P., 1883, p. 253-254).

(Source : Notice Agorha "Emmanuel Lansyer" rédigée par Manuela Moscatiello)

Bibliographies / archives
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0000 0000 6658 5524
Date de consultation : 
26/05/2021
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26/05/2021
Source
Institut national d'histoire de l'art (France)
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Attribution 4.0 International (CC BY 4.0)
Rédacteur
Manuela Moscatiello